Les plantes médiévales


Faciles à cultiver,
au jardin et potager

Absinthe & Armoise

Hysope

Lavande médicinale

Mélisse citronnelle

Menthe

Pavot

Vigne

26 commentaires Ajouter un commentaire

  1. Avatar de Inconnu Simone dit :

    Muriel, j’en ai quelques unes dans mon jardin parmi celles que tu décris, des plus courantes je dois dire: menthe, bourrache bleue, thym vert, lavande, camomille et ail des ours qu’on adore!

    Sûr que tu connais également parmi elles les significations symboliques, religieuses ou profanes ;-)

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Merci, Simone !

      Je présente dans cet article des plantes et aromatiques connues depuis des Lunes … ou lustres, selon le lecteur ;) et, comme je l’intitule, faciles à cultiver. Quelques symboliques s’y rattachant ? Oui, bien sûr ! Je peux toujours en ajouter quelques unes.

      J’aime

  2. Avatar de Inconnu Sarah dit :

    Ces photos pour illustrer ton article, elles sont super jolies.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Merci Sarah ;)

      C’est un plaisir de prendre l’appareil pour cette nature si enjouée depuis tantôt le jardin, tantôt le potager.

      J’aime

  3. Avatar de Inconnu Brigitte dit :

    La rose, c’est la fleur préférée au moyen-âge, particulièrement pour sa beauté et son parfum. Elle est associée à la Vierge Marie :

    • blanche elle représente sa virginité
    • rouge, elle évoque sa compassion et sa charité.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      La rose, c’est la fleur préférée au moyen-âge.

      Oui, pour celle blanche, immaculée. Aussi, en termes de symboliques, celle rouge, de l’ordre de la Rose-Croix qui, portant une croix d’or exprime le Corporel, alors que la rose rouge centrale traduit l’âme, est de nature spirituelle.

      La rose rouge est également en lien direct avec l’obédience Templière, soit encore, elle traduit l’Amour christique. J’en ai mis une en scène sur le blog, cherchez, amis !

      Il y a également le « Rosaire » et, en des époques plus proches de nous, la rose rouge à conservée sa symbolique intrinsèque pour exprimer l’amour.

      J’aime

  4. Avatar de Inconnu Bénédicte dit :

    Des oublis quand même, Berrichonne !

    Comme par exemple le pommier, le figuier et une autre à laquelle je pense, tu es presque impardonnable selon tes connaissances de l’art roman,
    puisque tu la mentionnes de nombreuses fois et ici sur ton blog Miam Berry, les oiseaux médiévaux de Williams.

    Tu vois de laquelle je parle, Muriel ?
    Grandes bises de nous.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Ah oui, chère Bénédicte, je ne peux là que te donner entièrement raison ;)

      Pommier, figuier ont eux aussi une connotation forte symbolique. Et que dire de l’Acanthe, en effet omise dans l’article ? Plante médiévale sans pareille, qu’effectivement, les plus magnifiques tapisseries moyenâgeuses reprirent pour illustration, ornementations. En effet, tu as raison, j’évoque sa présence au fil de mon article -> ici.

      La feuille d’acanthe, j’ai rédigé » un article dans la catégorie de -> l’art roman berrichon et sa collerette, encore vrai ! En Berry Bien sûr, ainsi qu’en -> l’Abbaye de Fleury.

      Excuse-moi, faute avouée : à moitié pardonnée.

      J’aime

  5. Avatar de Inconnu Marie-Chantal dit :

    La pimprenelle n’en fait elle pas partie?

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Je crois bien que oui ;), bien que je ne l’affirme pas. J’ajoute à cela ce qu’était écrit à propos à l’époque de George Sand :

      – « Posée sur cette alose, un brin de -> pimprenelle, herbe aromatique peu utilisée de nos jours, mais courante à l’époque de George Sand« .
      J’ai le sentiment que ladite plante et même antérieure au XIXe s.

      J’aime

  6. Avatar de Inconnu Jean-Marie dit :

    Herboriste ou rebouteux : transmission des savoirs de l’un à l’autre ;-))
    Plus spécialisés récoltes, conserves.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Je veux bien te croire, Jean-Marie ;)

      J’aime

  7. Avatar de Inconnu Fabien dit :

    La, tu pars des plantes que tu as dans ton jardin, applicables au thème de ton article.
    Il y en a beaucoup d’autres.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Oui Fabien, tu as raison ;)
      La liste dressée est loin d’être exhaustive en effet.

      J’aime

  8. Avatar de Inconnu Gillou 36 dit :

    Pas que chez les religieux Muriel 😇.

    Je pensais, te lisant, aux rebouteux et apothicaires à cette époque, ils avaient eux aussi un travail de transmission des plantes médicinales.
    La plupart ont transmis des vertus à soigner.

    Plein de bises !

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      La plupart ont transmis des vertus à soigner

      Oui, Gillou ;) Des vertus qui s’expriment encore de nos jours. Je pense bien entendu à -> l’ancienne apothicairerie située dans les murs de Saint-Roch d’Issoudun et pas seulement.

      J’aime

  9. Avatar de Inconnu Kévin dit :

    Des les plantes médiévales, aussi, sur les tapisseries très anciennes, à Boussac par exemple, sur les porcelaines de Limoges.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Je plussoie à 100 % , étant allé visiter le joli musée et vu également quelques belles œuvres d’art de l’époque moyenâgeuse, tendues sur les murs de châteaux : la « Dame à la Licorne » est la tapisserie la plus représentative à ce propos. À sa genèse, c’est une tapisserie merveilleuse, une série de six tapisseries médiévales qui sont considérées comme des chefs-d’œuvre de l’art textile. Et chaque tapisserie représente une femme noble entourée de symboles allégoriques, souvent associés aux cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher. La sixième tapisserie, souvent interprétée comme représentant « l’amour » ou « le désir », est particulièrement célèbre pour sa représentation de la licorne, un symbole de pureté et de beauté. Des œuvres absolument remarquables ! Non seulement pour leur qualité artistique, mais aussi pour leur richesse symbolique et leur capacité à refléter les valeurs et les croyances de la société médiévale.

      Merci, Kévin ;)

      J’aime

  10. Avatar de Inconnu Marie S-Baudel dit :

    Bonjour Muriel,

    Effectivement, il me semble que monastères, abbayes, le clergé avaient d’office un jardin médicinal.
    Tous ces gens séchaient les plantes, il y avait sûrement de nombreux herboristes et apothicaires parmi les religieux.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Probablement ! Les abbayes et couvents ont un jardin mystique attenant aux bâtiments conventuels. Je peux en témoigner de source sûre, au regard de ceux par lesquels je suis passée.

      Ce que je veux dire par « jardin mystique », c’est la symbolique du « carré sacré » exprimée par la croix du Christ, formée au sein même du jardin, d’un potager par les religieuses et religieux des lieux. De fait, ce carré est distribué par « 4 » parcelles identiques et au milieu desquelles figure assez souvent d’ailleurs un puits : l’élément Terre et celui de l’Eau, pour nécessaire compagnonnage. Dans chacune des parcelles, on trouve tant des aromatiques que des plantes potagères et florales. Ce sont bien sûr les religieux qui assurent l’entretien de leurs espaces extérieurs ; parfois, ils peuvent compter sur de la main-d’œuvre extérieure à leurs communautés.

      Pour exemple : les nombreuses parcelles de jardin du couvent de Charenton, ici le problème de l’entretien ne se posait pas vraiment, attendu que ces parcelles potagères étaient toutes mensuellement louées aux habitants de la commune, extérieurs donc à la communauté religieuse. C’est à dire, des -> jardins communautaires, appelés aussi des jardins partagés.

      Quant aux herboristes, parmi les communautés religieuses, en sont d’excellent(e)s : garder à l’esprit que les religieux soignent, dispensent des soins et autres posologies – d’où le nom de « dispensaire ».

      J’aime

  11. Avatar de Inconnu Léna dit :

    Bonjour Muriel,

    Intéressant ! Les personnes et le pouvoir religieux d’autrefois travaillaient-ils avec des personnes extérieures à leurs communautés,
    pour intervenir sur les plantes, les récolter pour d’éventuels soins?

    Passe une très bonne journée.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      Léna ;) qu’entends-tu par « le pouvoir religieux d’autrefois » ?

      Ils peuvent en effet se faire aider, recevoir de la main d’œuvre, excepté peut-être les communautés d’ermites, par exemple, celles les plus retirées, par rapport à leur monde environnant, voire étranger à la communauté et où aucun contact visuel n’est alors possible.

      J’aime

  12. Avatar de Inconnu Sauge dit :

    Pas mal de plantes courantes se révèlent des « alicaments »: cela se mange, certes, mais sert à pas mal de choses: ail, camomille, etc. Les simples condimentaires recèlent des tas de principes plus qu’intéressants: on jouait à l’époque sur la prévention en alimentation, et sur le dosage quand il s’agissait de se soigner ou soigner.

    J’aime

    1. Avatar de Muriel Muriel dit :

      En effet, Sauge ;) et il m’est impossible en un seul article, même avec la meilleure volonté, de réunir toutes leurs vertus.

      J’aime

  13. Avatar de Inconnu Annie dit :

    Merci pour tes jolis partages !

    J’aime

  14. Avatar de Muriel Muriel dit :

    C’est avec plaisir, Annie ;)

    J’aime

Répondre à Annie Annuler la réponse.