
À vous de découvrir cette beauté blanche,
précieuse et à la fois authentique de simplicité
Si vous souhaitez nourrir votre curiosité à travers mes illustrations et légendes paraissant sous chacune de celles-ci, n’hésitez surtout pas, amis et visiteurs !

Bienvenue à tous !

Je vous espère en pleine forme, de grand enthousiasme, et accueillir le nouveau Solstice validé de quelques jours. Et puis la NL dans le signe lunaire du Cancer ce 29, comment va-t-elle nous inspirer ? Peut-être par les vacances là, toutes proches pour certains et certaines d’entre vous – à la mer (natifs du Cancer), à moins que la montagne vous gagne déjà ? De fait, nous quittons juin pour Juillet, qui, probablement, ne manquera pas de proposer de nouveaux défis estivaux à la plupart d’entre nous.
À présent que Juin est quasi conclu, avec ses ardeurs passées et connotées caniculaires, ses mouvements orageux vrombissants et excessifs, aux effets rapides et parfois même déplorables, jouant la confrontation avec nos envies, ce que nous projetions alors. Aujourd’hui, tout ceci m’a donné goût à vous convier à des arrêts sur images, via quelques morceaux choisis à la faveur d’un mois de juin quelque peu décalé, il faut bien l’admettre. Cependant, la saison jardinière est loin d’être terminée ! Tant au jardin que pour d’ailleurs sa biodiversité. À ce propos, je fis quelques rencontres intéressantes, alors qu’en d’autres journées, cela se soldait tel un loupé voire un flop.

Quoi qu’il en soit, je ne mets jamais bien longtemps à recycler les idées et autres instants qui s’évèrent moins fructueux, d’autant plus qu’appréciant mes connexions directes aux bienfaits que procure le jardinage, mais pas seulement, ma capacité d’adaptation reste de fait chaque fois en éveil.

Espérons que le Soleil se montre relativement clément selon l’ordre des semaines à venir, pour nous remettre à jardiner, recevoir les amis, partir avec eux sur les routes entre passionnés de la rando-cyclo. Que sais-je encore ! Aussi, force est de reconnaître que par tout ce que nous avons traversé jusqu’à ce présent, on apprécie de prendre le temps de faire et vivre, sans plus se bousculer soi-même…
Cela me donnerait presque goût à rouvrir l’excellent ouvrage de Carl Honoré, avec son « Éloge de la Lenteur« . Eh oui, ce n’est pas une vue de l’esprit de dire que de notre époque, la Culture est à la rapidité.


Quand visiter de beaux Jardins
est une grande passion
En ais-je visiter de nombreux ? La réponse est oui ! Pas seulement en Berry, ma région natale et celle où je réside au moment où vous parcourez l’article. Aussi ais-je eu grande chance de voyager bien des paysagismes étrangers, l’expression d’une nature extrêmement belle au cœur de chacun d’eux : Égypte, Martinique, Tchécoslovaquie, Bohême, Turquie, Malaisie, puis plus tard en Toscane, et quelques autres aussi, tous, rivalisaient de beauté et de quelque chose de sublime propre à chacun. Et vous amis, et blogueurs sur Miam, aussi ?
Si vous avez cliqué pour découvrir l’article nouveau que je vous propose, peut-être este parce que nous partageons cette passion. Se réjouir de la beauté de la nature, en faire sienne parfois quand cela est possible, et tant d’autres idées et rêveries dont je ne doute pas que vous les partagerez en commentaires à venir. Cette fois, le jardin se fait plus modeste, et cependant, il n’est pas exempté d’âme qui lui appartient, incarnant parfois le souvenir de visuels croisés, à ce propos, en voyage. Je pense à la vasque fleurie, inspirée de la mythologie grecque. Pas seulement !
J’ai pris le temps de vous sélectionner quelques photos que je fis courant juin, je vous laisse les découvrir, en commençant par mettre un nom sur le joli rosier blanc.

Les plus anciens rosiers sont originaires d’Asie et du Moyen-Orient. Les croisades ont contribué à l’implantation des premières espèces, en Angleterre et en France. Par exemple, le rosier de Provins (Rosa gallica) fut rapporté par Thibaud de Champagne, en même temps que des pieds de vigne. C’est lui qui donna naissance à la rose des apothicaires dans les siècles qui suivirent. Du Moyen Âge jusqu’au XVIIe s. ces rosiers s’hybridèrent. À l’époque de Louis XIV, il n’y avait que trois sortes de roses cultivées : le rosier de Damas (Rosa damascena), le rosier blanc (Rosa alba) et le rosier moussu (Rosa moschata).
On doit à Joséphine de Beauharnais un gros travail d’inventaire et de collection : en toutes roses qui existaient au début du XIXe s. Elles furent dessinées les unes après les autres, par un extraordinaire artiste – Redouté. Avoir la collection de ses dessins, c’est connaître l’inventaire des roses d’avant 1810. À la mort de Joséphine, en 1814, croissent sur le territoire français pas moins de 200 variétés et espèces en termes de rosiers… Vous vous imaginez incarnant l’un de ces heureux et passionnés collectionneurs, si vous aviez la superficie des massifs aménagés pour recueillir celles-ci ?

Sous peu, et parce qu’elle a fleurie depuis ce printemps, je peux à présent lui proposer de rejoindre le grouppe de ses sœurs d’âme.
En bouton déjà bien avancé, la rose se présente dans une teinte rose dragée ci-dessus. Elle est juste sublime à plus d’un titre ! Au gré de son épanouissement, elle va opérer cette transformation la faisant aller du rose délicat à encore plus délicat, une blancheur, surlignée de ci, de là par par des réminiscences d’un rose soutenu.
Plus perceptible, cette rose de collection Georges Delbard permet à ses fleurs semi-doubles et parfumées, leur épanouissement qui, arrivé à maturité, montre un cœur aussi coloré que généreux, chaleureux, via ses étamines. C’est pour rendre hommage au parcours exceptionnel de Dominique Loiseau, restauratrice et l’épouse du chef Bernard Loiseau, que le rosiériste Delbard a voulu créer la sublime rose blanche.

Des goûts et des couleurs
Sont autant de styles de jardins que d’inspirations. D’ailleurs, à ce propos, le jardin idéal est propre à chacun. C’est pourquoi il n’est pas tant jardin « idéal », que d’idées à trouver. En fait, on ne peut créer que ce que nous portons en nous déjà.

Ma dominante – peut-être la trouverez-vous utopique – intervient surtout pour ce qui ne se voit pas de l’arrière de ma demeure, comme Jardin Secret, un espace de vie second. Pourtant, l’avant de la maison n’est exempt ni de fleurissements, ni de petites choses aimables dont on s’entourent parfois volontiers. Par exemple, un carillon éolien par si, une éolienne par là… Oups ! Pas d’éolienne dans l’environnement immédiat, seulement carillons 😉


L’abeille qui dit oui, danse de joie, de façon quasi permanente d’ailleurs. Heureuse, dit-elle, d’aller polliniser à disposition le potager. Mais Maya dit-elle vrai ? Voici qu’elle me laisse un peu perplexe.
Et vous, comment concevez-vous le jardin environnant
à votre lieu de vie ?
Autres instants
du jardin
L’instant d’une promenade, à toute heure de la journée, cette nature environnante apporte sérénité et bien-être, en se dessinant au gré du paysage que nous créons. Et plus encore, dans lequel nous aimons nous ressourcer, le temps d’un instant. L’un ou l’autre instants parmi ceux que nous construisons, où nous méditons, ou nous nous créons une histoire qui, du lever au coucher du Soleil, est bien entendu notre histoire. Sublimée lorsque partagée !
Je suis triste, chaque fois que je découvre une maison privée de jardin. Un espace au naturel, qu’il se love au cœur d’un mouchoir de poche, ou qu’il profite d’une belle superficie, c’est tellement appréciable en touts points ! Bien que son absence n’empêche pas d’être attaché à son cadre de vie, je crois que tout un chacun à besoin d’un petite espace nature pour s’y recueillir, s’y tenir en retrait à l’envie.


C’est exceptionnel d’alimenter l’été les oiseaux. Cette année, outre avoir prévus bains d’oiseaux et petites soucoupes à plusieurs endroits du jardin, pour leur permettre de se désaltérer au besoin, je leur ai ajouté du miam car en journées caniculaires qu’ils ont eu en juin eux aussi….

Elles de mirent pas longtemps,
à comprendre le bien fondé
d’un tel espace « repos » !
Visuels très matinaux : 02/07/22


Il est écrit : Je ne m’éloigne que peu de la branche « perchoir »
qui me voit prendre envol jusqu’à ma pitance !
Belles nature dans ton jardin! Finalement le mien est un peu délaissé, il y pleut si souvent que nous n’avons, contrairement à toi Muriel, goût à rien. Quand allons nous revoir un peu de soleil dans le Berry?
Ce n’est pourtant pas les travaux d’été qui manquent quand on aime jardiner!
Amitié,
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Ta vasque est superbe, toute aussi fleurie, j’adore, un enchantement!
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Merci pour ce joli partage ! Elle est très jolie cette rose blanche, comment s’appelle t’elle ?
Bonne semaine !
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Lorsque l’on te connait comme amie, on perçoit bien ce romantisme à fleur de peau qui t’anime dans toutes tes décorations, extérieures mais aussi intérieures, Muriela.
Ne change pas amie.
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Amie,
Je pressens ta poésie et je vois aussi que ton article est proche de ressembler à tes éditos mensuels. Je ne pense pas me tromper. Tu le confirmes ?
Bises
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Muriel, ça marche la balancelle?
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Comme jamais ! Hier, ce ne fut que ballets incessants la journée durant. Les mésanges ne mettent pas les pieds dans le plats. Je les aïs bien observées. Elles se placent en position à bonne auteur parallèle, .puis sautent sur une branche avant l’envol jusqu’ a leur pitance, qu’ils emportent aussitôt sur ladite branche de l’envoie. Ils pose dessus ce qu’ils ramènent et picolent à leur rythme.
Demain : sur photo 😉
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Franchement, très joli le tout, Muriel.
J’adore aussi !!!!!
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Merci Sandra !
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Merci Muriel, pour ce joli article avec celui des papillons et ta dernière recette, lus avec attention.
Amitiés
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Superbe et très accueillant, le jardin Miam Berry ;-))
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Muriel je voulais te demander hier (oublié) si tu as cette année semé ou planté des cornichons?
J’en ai mis une planche qui ne donne pas grand chose, je n’ai pas non plus mis de tuteurs, peut-être cela!
Bises, bonne journée!
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Jean-Marie, regarde par ici 😉 !
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