Bonjour à tous !
Entre deux recettes publiées, j’intercale ce moment plaisir. C’est une histoire commune où chaque visiteur du jardin est convié à se mettre à leurs places ! Je ne sais pas pour vous, mais moi j’apprécie leurs présences.

L’abeille danse de joie, de façon quasi permanente d’ailleurs, « heureuse d’aller polliniser à disposition le potager ». Mais Maya dit-elle vrai ? Elle me laisse un peu perplexe…

Jeux de lumière et de mouvements, j’aime passer du temps à croiser ces mobiles côté jardin, qui rivalisent de charme en bien des aspects : éolien, balancements divers, sons émis… Fins hôtes permanents, en compagnie de partitions florales émises au cœur de massifs, ainsi que les subtiles souffles de l’air venant défier la vertu du silence parfois.
Fine équipe du jardin, qui parfois n’est pas à court de surprise. Ci-contre façon vitrail.
Je suis plutôt classique d’habitude, en touts cas pas le goût pour ce qui est kitch. Alors que j’ai craquée aux bénéfice de ces instants suspendus. Par exemple, asseyons-nous quelques minutes sur l’herbe – celles qui précédent un goûter partagé – pour écouter les quelques sons subtiles produits par Éole, qui passant, fait jouer hautbois et raisonner musette. Par excellence, Éole, roi de l’île flottante d’Éolia selon l’Odyssée d’Homère, est missionné « Maître des vents ».
C’est mignon, j’aime bien aussi!
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Jolis, ces mobiles qui jouent du côté de ton jardin. Nous sommes très heureux de te retrouver ce dimanche à notre dejeuner cuisiné par qui tu te doutes, Muriel.
Bises 💖
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