Le temps me dira si j’eus bien fait de le déterrer de l’emplacement qui était le sien jusqu’au début du printemps 2022. Jusqu’à présent, il a plus ou moins végété, ne semblant pas faire preuve de grand enthousiasme à s’élancer au sommet, si je puis le, dire ainsi ! Car s’agissant d’un fraisier grimpant dont la mission est de prendre de la hauteur, peut-être est-ce un fraisier dont la singularité requiert bien plus de temps de croissance au regard des autres que je vais appeler « normaux ». Si vous le connaissez, n’hésitez pas à échanger quelques mots 😉
Au tout début du printemps donc, je l’ai replanté dans un grand pot, lequel j’ai ceinturé de supports à tomates, pensant ainsi pourvoir à son ascenssion.
Habituellement, le fraisier se cultive facilement placé dans un pot
Celui-ci est un large bac, et même si les racines du fraisier s’étendent plutôt qu’elles aient besoin de profondeur, elles peuvent tout-à-fait trouver « matière » ici. Bien sûr, comme toute culture en pot, cela réclame davantage d’apport d’eau. Il va falloir de ce fait jauger fin, juste ce qui va être nécessaire de ce côté de la partie qui à ce stade du rempotage, est loin d’être couru d’avance.

Quelques arrêts suivis…


Ce qui s’appelle « faire pot commun » …
Entre fraisier central, ipommées et pourpier semé autour




Bonjour Muriel,
Je la pensais plus petite, la fraise de cette espèce.
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