Pâques de retour

Voici le we de Pâques, encore bien particulier cette année. Une année écoulée, et pas question de grandes retrouvailles en famille, de voyager loin, puisque nous sommes à nouveau, à partir de lundi 5 avril, d’une distance kilométrique, d’un retour avant l’heure pour ceux qui pensaient partir (j’en étais).

Exercice difficile, qu’est celui de ne pas parler de la Covid, outre le fait de se demmander comment y échapper. Je ne sais pas si nous en viendrons à bout, d’autant plus que les infos télévisées, les journaux et autres réseaux sociaux nous bastonnent de sujets préremptoires et contradictoires d’une manière générale.

Lors de la dernière allocution au 20 h du président de la République, je suivais sans en perdre une miette, de ce qui allait être pondu en guise d’oeufs de Pâques. Il nous a été confirmé dans les grandes lignes combien la France a fait preuve de vaillance durant la pandémie et a mieux réussie que ses voisins, quant à la gestion de la crise sanitaire. On ne pourra pas dire que tout le verbage était sans affectation. À l’anlyse que j’en fis au sortir du salon, ce fut plutôt de l’autosatisfaction ? voeu pieux ou poisson d’Avril ?… À chacun de nous de déduire, de penser comme cela nous chante, à défaut, actuelleement, de chanter via de meilleures partitions.

S’il est vrai que nous sommes nombreux à penser que nous aurions dû être confinés plus tôt, au lieu de l’être pour les fêtes Pascales, et par après qui sait, nous n’avons toutefois pas d’autre choix que de prendre notre mal en patience. Il ne faudrait pas que cela nous fasse oulier que le printemps, lui, est bien là et qu’il en témoigne chaque jour que Dieu fait, par des journées quasi estivales depuis plus d’une semaine durant. Même avec les grandes réunions exclues à nouveau, même si c’est encore une fois compliqué et triste, que les enfants soient loin, que nous y pensions chaque jour, je me dis que la philosophie qui a toujours été mienne de profiter de chaque instant, de chaque jour et quoi qu’il en soit, est de ne rien remettre à plus tard, mais plutôt, continuer d’avancer, est une bonne philo.

En attendant les jours autrement bien meilleurs, un peu de chocolat croqué au nom de la tristesse ambiante

Pas non plus de faire impasse sur le respect des traditons, à Pâques, on mange de l’agneau, cette année aussi, le semi-confinement n’y changera rien… Quelle que soit la façon dont il se décline et la façon dont nous le cuisinons…

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