Les nombreuses festivités augurant le 25 novembre, honorant les Catherinettes et Sainte-Catherine, perdurent. Pour la bonne jardinière que je suis, j’ai, dans un premier temps, reçue la commande passée quelques jours avant et comme le temps s’y prêtait guère (en averses), j’ai patienter, et c’est seulement hier – 26 novembre, que je me réjouissais à préparer avec soin son emplacement définitif, et terminait par un paillis de protection hivernal, et terminait mon petit rituel en enfouissant à son pied des minéraux. Planté plein soleil et une très bonne terre. Le figuier ne demande pas davantage.
Pour seconde plantations autour de la Ste-Catherine 2019, ce fut des Crocus-Safran, comme je le mentionnais quelques jours auparavant. J’ai hâte de voir ces deux nouveaux hôtes élire domicile et prospérer abondamment…
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La plante et le fruit du Figuier sont pour moi très symbolique, et il me tardait d’en cultiver un au jardin. Le figuier, comme la grenade, portent une symbolique riche, outre le fait que c’est un très bel arbre à fruits dont je me délecte et que je ramène assez souvent dans les recettes que je vous propose.
À l’unisson de d’autres plantes « symboliques », le jardin devient un petit temple, don je ne saurais me départir au fil des ans, tant j’y installe l’équilibre au fil des années…


Cliché : 07/05/2020/
Oh super, ce sera la première fois que nous verrons Muriel. J’ai hâte 😍
On t’embrasse très fort et merci pour le superbe week-end ambiant et prolongé en Touraine chez Anaïs.
On te téléphone chère amie.
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Bonjour Muriel,
Pas de figuier planté mais 2 framboisiers. Bisous.
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Oh les framboisiers qui donnent aussi généreusement !
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Muriel, quelle espèce de figuier avez vous planté à l’automne ?
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Il donnera des figues « Pastillère ». Le Berry est une belle région, mais loin de celle où pousse originellement le figuier !
Trois semaines après la plantation, je n’ai pas trop risqué, je l’ai protégé du froid, de l’air et de l’humidité avec un voile au pied. Air et humidité, c’est ce que redoute par dessus-tout le figuier. Si certaines variétés, plus rustiques, tolèrent des – 12 °C, à – 16 °C, toute la partie aérienne gèle. Il a perdu ses feuilles. Au retour du printemps, je vais le nourrir en potasse (pas d’apport de fumure azotée) et penser à l’arroser copieusement, d’autant que se sera son premier printemps.
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Je suppose Muriel que depuis sa plantation il doit à présent être beau ce figuier 😉
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Bonjour Muriel, avez regardée, pour vos figuiers et cet hiver ?
Amitié, Dun/Auron
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