Relique unique en France,
une belle tradition gastronomique

Mets proposé : « Pâté en croûte spécial Berry »
Chers amis aux cœurs gourmands, visiteurs de passage sur Miam Berry, plutôt nombreuses ont été vos demandes reçues quant à l’incontournable et traditionnel pâté de Pâques. Aussi, j’ai eu envie de répondre favorablement à vos courriels en réalisant ce plat qui, chaque année – en même temps que le retour du printemps – donne matière à ravir les papilles, lorsqu’en Berry, on met sur la table pascale l’un des grands symboles culinaires qui font la saine fierté de notre gastronomie. Voici donc un mets qui réjouira les papilles de toute la famille ou d’amis réunis autour de ce mets de choix à Pâques. Aussi n’oubliez pas de le prévoir idéalement parmi les réjouissances de votre panier à pique-nique… Effet ultra gourmand garanti, accompagné d’une salade de printemps, croquante (batavia dorée par exemple), aux feuilles fraîches à souhait. Sûr d’y trouver votre bonheur !
Issu des campagnes berrichonnes
Le point d’orgue autour du Pâté berrichon et de ses distinctions souligne la fidélité à la tradition, la valorisation de celle-ci dont il fait continuellement l’objet, aux repas de Pâques, bien sûr, et pas seulement ! C’est l’histoire d’un plat convivial qui, depuis des époques plus reculées, était considéré rustique, issu d’une campagne nourrissant les familles au sortir de la Semaine Sainte. Ladite tradition ne s’est jamais éteinte ! De plat populaire, solidement ancré aux cœurs de l’Indre et du Cher, Ce pâté en croûte du Berry jouit d’une véritable identité.
Traditionnellement préparé pour célébrer les fêtes de Pâques, l’un des éléments symboliques autant que caractéristiques qui intervient dans la réalisation, ce sont les œufs durs. La symbolique des œufs, dans ce contexte, est à mon sens majeure : elle est intrinsèquement liée à la Pâques chrétienne, symbolisant la résurrection du Christ et le renouveau de la vie, comme l’œuf symbolise à sa genèse la naissance, le nouveau, voire le « re-nouveau ». Lors du jeûne à partir du mercredi des Cendres / l’entrée en Carême 40 jours avant Pâques, n’étaient alors plus consommés dans nos campagnes ni œufs, ni viande, ni laitages et ce jusqu’au Samedi Saint.
Mais alors que les gallinacées continuaient la ponte, et que n’étaient pas cuisinés d’œufs pendant la semaine précédant Pâques et la dernière partie du Carême, on se retrouvait avec une production d’œufs à ne plus savoir qu’en faire. Qu’à cela ne tienne !
D’ingénieuses cuisinières les utilisèrent par un savoir-faire puissamment chevillé à leur terroir : une bonne quantité d’œufs en une seule recette. Ainsi naquit le pâté de Pâques berrichon au plaisir des petits et grands palais. Vous ne trouverez pas un seul Berrichon pour prétendre le contraire !

Chez moi en Berry, dans la contrée du bocage saint-amandois, je suis une adepte du terroir et des recettes transmises de longues lignées de savoir-faire par les hommes et les femmes de notre province. Des souvenirs magiques éclos en même temps que les sublimes pivoines, du fleurissement des lilas, au gracile bouton d’or qui, lui aussi, traduit le renouveau printanier à la toute approche de Pâques.
La bonne recette
Pour 4 à 6 personnes : Préparation : 35 mn – Cuisson 1h (selon votre four).

Tiens ! J’ai véritablement eu envie de m’y mettre. Et cela, avec un maximum d’organisation à le préparer et de concentration tout au long de sa réalisation.
Oui pour le plat du printemps et l’assiette gastronomique à table avec Miam Berry !
Ingrédients :
• 430 g de viandes : 200 g de veau, 200 g d’échine de porc désossée ou poitrine, 30 g de foies volaille (poulet)
• 1 rouleau de pâte brisée & 1 de pâte feuilletée
• 5 œufs + 1 à incorporer à la farce + 1 jaune à réserver pour dorer la pâte
• 2 échalotes, 2 petites gousses d’ail
• Persil plat (le plus d’arôme), pimprenelle (facultative)
• Sel, poivre du moulin, 1/2 c. à c. de noix de muscade
• 2 bouchons de madère ou cognac pour parfumer les viandes (facultatifs).


Étapes de la préparation
1. Cuire les œufs : env. 8 mn.

Préparer la farce : Elle peut se faire la veille.


2. Mixer les viandes, les foies, et les placer dans une terrine ou un récipient. Bien les mélanger entre elles. Mixer échalotes, ails, persil (aromatiques de votre choix) finement, puis les intégrer à la préparation. Verser 2 mesures (bouchon) de madère ou de cognac. Battre un œuf à la fourchette que l’on ajoute à la farce. Bien mélanger à nouveau, et assaisonner ; rectifier si nécessaire. Laisser reposer quelques minutes en posant un linge propre dessus, ou bien un film alimentaire.
3. Préchauffer le four à 200 °C pendant 20 mn. Recouvrir la plaque à four de papier sulfurisé.
Étaler la pâte brisée
au rouleau à pâtisserie

En son centre, étaler la farce uniformément.

Placer dessus les 5 œufs durs écaillés et refroidis.

4. Recouvrir de pâte feuilletée cette fois. Couper de chaque côté l’excédent, en veillant à ce que la pâte du dessous dépasse de 1 cm celle du dessus. Au pinceau, badigeonner de jaune d’œuf. Pincer et sceller bien les pâtes entre elles, de part et d’autre, en rabattant les côtés.
5. Disposer le pâté au centre de la plaque du four. Badigeonner de jaune d’œuf avec le pinceau pour dorer la pâte. Faire 3 petites cheminées sur le dessus, pour l’évacuation de la vapeur pendant la cuisson.
6. Enfourner. Pendant 20 mn, cuire à 200 °C, puis baisser le thermostat à 185 °C pour les 40 mn restantes.


Souvent servi froid en entrée ou en plat principal de tiède à chaud, accompagné d’une salade ou de petits légumes.
On se délecte de
l’amener à table

Cette fois, le voici, le tant attendu ! Celui sur lequel j’ai à peu près tout miser pour qu’il soit suffisamment présentable au sortir du four, il y a quelques minutes. Il est bien, là, mi-chaud, mi-tiède, il se savoure ainsi. Mais, comme je le mentionne plus haut, au pique-nique il se montrera encore délicieux, quand bien même non réchauffé. Avis aux puristes !
Quelques légendes autour du Pâté de Pâques prenaient autrefois vie lors des échanges ; les familles paysannes réunies généralement au grand complet, pouvaient en parler à bâtons rompus.
Le faisaient-elles en parlures ? Dieu seul sait ! Les parlures, c’est nout ‘ patois d’ che nous, celui le plus ancré aux quatre vents des bouchures et de nos paysages ruraux.
Un succès qui ne se dément pas !

Il est également traditionnellement consommé lors de pique-niques ou de repas familiaux pendant les fêtes. De fait, un plat riche en saveurs et en histoire, reflet de la gastronomie du Berry, qui met en avant les produits du terroir et les techniques culinaires traditionnelles.

Si vous avez l’occasion de le préparer vous-même
c’est une expérience à ne pas manquer !

Qu’appel ton « vin de Pâques » ?

Nous ne sommes pas à moitié Berrichons ! Pour les puristes qui souhaiteraient faire l’accord mets & et vin de Pâques, un vin de qualité terroir tel que le Reuilly Pinot Gris me semble être un bel accord avec la farce douce et goûteuse du pâté de Pâques.
Le « vin de Pâques » fait généralement référence à un vin qui est traditionnellement associé aux célébrations de Pâques dans certaines régions, notamment en France. Il peut également désigner des vins spécifiques qui sont souvent consommés lors des repas de Pâques. Si vous avez un vin spécifique en tête, n’hésitez pas ouvrir un commentaire, ou à me le faire savoir par email ! ;)
Pour accompagner un Pâté de Pâques, il est important de choisir un vin qui mettra en valeur les saveurs riches et variées de ce plat. De mon point de vie, Pinot Gris ou bien Pinot Noir : ce vin léger à moyen, avec des arômes de fruits rouges, se marie bien avec la richesse de la viande. Un Sauvignon Blanc frais et aromatique peut offrir un bon contraste avec la viande, surtout si vous servez le pâté avec des petits légumes de printemps.
Quoi qu’il en soit, prenez en compte les ingrédients spécifiques de votre Pâté de Pâques, car cela peut influencer le choix du vin.
Par exemple, si le pâté contient des épices ou des herbes fortes,
un vin plus aromatique peut être préférable.
En fin de compte, le meilleur vin est celui que vous aimez
et qui vous semble agréable à déguster avec votre plat.
À savourer avec modération.
Hello Muriel!
Super joli amie! C’est le plat star de la région !
De belles Pâques à toi !
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Oui Véro, c’est très juste ;)
Merci pour ton commentaire,
bonne semaine !
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Bonjour Muriel,
Pour moi, c’est un classique incontournable que tu devais publier absolument sur ton super blog. Même quand le pâté de Pâques n’est pas dans le livre de Sand.
Chaque année chez nous, on le cuisine au vin blanc, on peut aussi, et la farce, c’est pour lui samedi. Fabien me dit que tes présentations sont très alléchantes, un super bon point pour notre chère Miam Berry, titre de ton site qui lui va à merveille !! ;-)
Bonnes Pâques aussi,
Amitiés de nous !
La Châtre
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Bonsoir Lucie ;)
Voici désormais qui est fait, et très sincèrement, ce fut un réel plaisir de le réaliser et de le partager avant Pâques. La recette m’a été transmise pas une connaissance de l’Indre. Je me suis empressée de la remercier dès mon retour en Berry.
Elle le réalise avec du cognac. N’en ayant pas, je me suis tournée vers le madère, je pense se que c’est aussi à tester, tant ce fut délicieux ! Par contre, les foies de volaille sont de l’inspiration de Mme + ;)
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J’adore :D !!! Bravo, joli défi Miam Berry.
Suis pas sûr d’arriver à le faire et je te dirais que j’en ai pas un désir non plus.
Nous ne sommes plus que deux souvent chez nous pour les week-ends de Pâques.
Nos enfants sont grands et loin de chez nous aussi : l’un est parti à Montréal pour le travail de son épouse et notre fille vit à Tarbes. Ils ne seront pas hélas chez nous.
Bises à notre amie, de belles fêtes !
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Merci cher Philippe ;)
J’espère que vous aurez passé tous les deux de belles Pâques. Je comprends bien ce que tu ajoutes à ton message.
Parfois, nous sommes nombreux dans une situation semblable, et cependant, proches par le cœur, la pensée.
Bonne continuation.
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Une jolie réussite, tu as dû être contente de la tournure finale ? Bien !
Joli l’ensemble cuisine et décos de table. Tu as des goûts sûrs, beaucoup, nous te connaissons à l’oeuvre.
Il n’est pas prévu chez nous cette année, les cousins débarquent à Gargilesse samedi soir, on n’aura pas le temps, c’est une préparation qui nous prend du temps lorsqu’on la fait. L’an dernier il était sur notre table, pour quatre et sans vin de terroir. Toi, tu déniches tout à point :-)
Merci pour ton partage Muriel, je ne savais pas qu’il y avait des vins de Pâques. Ce soir, on a répétition. Tu devines sans doute de quoi je parle, ça t’évoquera les tiennes, sûrement !
Gros bis, belle semaine sainte, Muriel.
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Merci Gargilesse, c’est gentil ;)
Pour tout en dire, je ne suis pas mécontente du résultat, en effet, d’avoir mis en avant cet incontournable de notre région gourmande !
Je te devine, voyant ton petit monde arriver à la maison pour la grande fête Pascale. Vous savez mieux que quiconque, amis, que la réparation ne se prépare pas d’un claquement de doigts, bien qu’elle reste assez facile de réalisation en suivant le pas à pas de vos recette : je dis cela, car de mon point de vue il n’existe pas une mes des recettes à propos du « Pâté de Pâques Berrichon« .
Je connaissais pour les vis de Pâques, parmi mes connaissances, j’ai de fidèles Basques, ce sont eux qui me firent connaitre ceci. Ce sont vraiment des vins mis à l’honneur de façon régionale à cette période de l’année.
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Merci beaucoup Muriel, toujours très appétissant ce que vous publiez sur votre blog.
Bonnes fêtes de Pâques.
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Avec plaisir ;) !
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Oh oh! Tout bon pou moi 👍
Merci !
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Merci à toi ;)
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Humm, qu’il est bien réalisé ton pâté Muriel, il doit être délicieux je n’en doute pas.
Bonnes Pâques à toi et les tiens !
Amitié
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Merci pour ton commentaire, chère Brigitte ;)
Délicieux il l’était, sûr !
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Merci ma Berrichonne, pour ton partage de Pâté de Pâques fait avec amour !
Gros bis de nous tous !
Eguzon
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N’y a t’il pas un petit refrain qui dit :
– Lorsqu’un Berrichon rencontre une Berrichonne, que se racontent-t-ils ?
Devinez, mes amis ;)
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Coucou amie,
Il sera aussi sur notre table demain, nous le faisons chaque année depuis pas mal d’années, avec sous les yeux une recette héritée de notre grand-mère grand-mère paternelle, elle a vécu toute sa vie à Cerbois.
Mais plus petit que le tien et dans un moule rond, le nôtre. Du coup, le tien présenté rend plus généreux ! Je ne sais pas trop ce qui est mieux = moule rond ou directement passé sur une plaque du four comme tu l’as fait. Peu importe, ça se mange toujours avec grand appétit ! Merci pour ton conseil terroir, j’adore tes publications, ton blog.
Belle journée et joyeuses Pâques.
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Merci Sophie ;)
Je suis sûre que vous vous êtes régalé aussi. Suivre la tradition, il n’y a rien de tel !
À mon sens, ma réponse, mais je ne pense pas que la forme du moule ait une quelconque influence directe sur la réalisation du pâté de Pâques. Et tu le dis d’ailleurs : » ça se mange toujours avec grand appétit »… Je plussoies !
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Cette recette a l’air délicieuse, merci beaucoup Miam Berry.
En vous souhaitant de joyeuses fêtes pascales, merci pour votre blog. !
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Merci Kévin, au plaisir ;)
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Joli ton pâté berrichon ! Je lis les commentaires, c’et vrai que c’est un plat qui va me prendre du temps que je n’aurais pas ;-))
Très très appétissant. Bonne continuation Muriel, bonnes Pâques !
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C’est bien dommage ! Tu te prives d’un mets absolument délicieux et fait pour être partagé ;)
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Au top, merci, très appétissant !!!!
Ta farce faite à l’air toute en finesse, ce doit être du beurre, un régal.
A bientôt
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Merci Léna ;)
Je n’affirmerais pas de ce côté, je pense que les foies de volaille ajoutés dans ma préparation ont donné une texture plus fine. Cela, c’est ce que je me suis dit, après…
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Ah tu m’apprends quelque chose de nouveau, qu’il y a des vins de Pâques 🌷🍷
et bonne 💡 pour un Reuily, je n’y aurais pas penser.
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Je ne savais pas non plus. Jusqu’à ce que des amis basques soient passés. Sur leurs terroirs, ils ont d’excellents vins et au fil de nos échanges, nous en sommes arrivés à évoquer les vins de Pâques.
Merci Sarah,
prépare-toi pour notre prochaine randonnée ;)
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Bonjour Muriel,
Il aurait été dommage que tu ne le fasses pas, tes photos sont agréables et franchement, super appétissantes !
A bientôt à Saint Amand.
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Merci Fabien ;)
Avec plaisir.
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Très alléchante tes assiettes touristes, Muriel!
Superbe, bravo ! Voilà un très joli printemps sur la table Miam Berry.
🌺
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Merci, cher Ludo ;)
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Merci pour le partage et les clins d’oeil souriants et sympathiques :)
Bon week-end de Pâques, Muriel !
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Bonsoir Sarriette ;) joli pseudo !
Ce fut un vrai plaisir, du commencement de sa réalisation, jusqu’u service à table.
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Je n’ai encore jamais essayé de faire le pâté de Pâques moi-même, tu me donnes envie de me lancer; mais un prochain week-end.
Amitié !
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Claudy, si tu lis le fil, dis-nous si tu l’as réalisé aussi ;)
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C’est un plaisir !
Bises, Muriel ⚘️
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Merci Chantal ;)
Bises aussi, une bonne continuation.
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Merci, Muriel pour cette délicieuse recette, vos partages sur vos blogs.
A bientôt.
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Bienvenue, Sandrina ;)
Merci !
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Muriel, n’as tu pas rencontré un souci lorsque tu as mis, de la planche à la plaque du four ta belle réalisation ?
Bravo!
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Oui, en effet Jean-Marie ! Tellement concentrée, que je me suis rendu compte – trop tard – que j’aurais dû le préparer directement sur la plaque allant au four. Cela m’aurait épargné une tracasserie de taille : il me fallut l’extraire avec deux maryses, en le soulevant délicatement par le centre et le transférant doucement ainsi, jusqu’à la plaque.
Tant bien que mal, cela est passé crème ;)
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Franchement je dévore ton blog j’adore c’est vraiment superbe ce que tu fais!
Bon week-end end de Pâques !
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Merci pour ta visite, Noémie ;)
Au plaisir.
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Muriel,
Dans notre famille, le pâté de Pâques va être amené sur la table ce déjeuner de lundi.
Nos enfants étant chez nous et nous les voyons peu à cause de leur activité professionnelle lointaine.
J’ai fait la farce hier soir et ma pâte est prête aussi pour gagner du ⌛️.
Belles et heureuses Pâques à Miam Berry!
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Alors, c’était bon ? Oh oui, sans aucun doute ;)
C’est vrai que lorsque ‘on peut préparer quelques chose à l’avance, c’est du temps de gagné sur la réalisation complète.
Merci pour le commentaire.
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Bonjour,
J’ai du faire cuire le mien 20 mn de plus, il me semblait pas tout à fait terminé, mon four n’est pas à chaleur tournante. Il lui fallut ce temps de plus.
Tu as raison, cela dépend de notre four.
Merci Muriel pour ton partage, le pâté de Pâques est un plat familial très réconfortant.
Amitié
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Christelle ;) tu as fait sûrement pour le mieux et il devait être excellent.
Il est vrai que parfois, les temps de cuissons peuvent s’avérer assez aléatoires.
A bientôt peut-être, sur le marché.
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Excellent plat de fête quand au retour de la messe du dimanche de Pâques, tu te retrouves avec une envie de passer à table pour partager le repas.
Merci, gros 😚 Mumu !
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Merci pour ton témoignage, chère Pauline.
À bientôt.
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Bravo Muriel, c’est du joli !
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Avec plaisir, Sandra ;)
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Enfin le voici ! Respect ! Quand je te disais que ce n’est pas compliqué à faire.
On pense souvent, à tort, que d’anciens plats comme celui-ci sont longs à réaliser. La farce, les oeufs durs peuvent être vus la veille, le lendemain est appréhendé avec plus de sérénité. Il y a longtemps, quand j’ai eu l’âge d’un verre de Reuilly à la main et que je suivais avec attention le montage du pâté de Pâques se faire par notre mère, elle-même qui reçut un cours de cuisine de sa mère, c’étai le paradis dans notre maison. J’avais 23 ans à cette époque, je m’en souviens comme d’hier. Les voisins étaient là aussi et nous fêtions cette veille de Pâques tous dans la cuisine, à regarder faire la délicieuse pièce. Tu aurais trouvé épique cette scène de cuisine, Muriel, c’est sûr !
Je dis cul sec sur le pâté du Berry, oeufs et viandes ! Célébrons, comme tu me l’écris, nos territoires gourmands.
Bravo pour ton accomplissement, pour le partage de tes blogs où j’aime venir te lire. Nous aimons beaucoup.
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Bonjour à tous les amis !
Quel plaisir de vous lire et de bientôt répondre à chacun de vos sympathiques commentaires postés. Si je m’attendais à cela, en parcourant le fil à mon retour des fêtes Pascales hier, absente du Berry depuis vendredi. Je laisse passer le week-end pour répondre, promis ;) Quelques questions auxquelles je vais me faire le plaisir d’y ajouter ma plume. J’ai là en effet, pas mal de chose à faire et les heures passent si vite pour tous.
À tout bientôt ;)
Muriel
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Humm qu’elle gourmandise.
Merci
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N’est-ce pas !
;)
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