Introduction au Symbolisme
Les oiseaux, replacés dans le contexte de leur genèse, apportent les messages célestes, ils favorisent l’envol de l’Esprit – Colombe mystique qui représente l’Esprit-Saint, et pousse l’esprit à une sublimation divine – ils expriment l’esprit qui intellectualise et s’élève légèrement au-dessus des occupations terrestres. Les oiseaux (ainsi que les papillons) sont aussi des fées célestes qui rejoignent les pensées humaines d’après leur état intérieur, pour annoncer des évènements mystiques, amoureux, d’affaires.
Dans l’iconographie artistiques sculptée au cœur des églises et notamment romanes, ainsi que dans les vitraux, et les peintures monumentales, sont en nombre de célestes messages à s’être immortalisés de la sorte. Les ailes d’oiseaux représentent les âmes : pour exemple, sur un chapiteau, les petits oiseaux représentent les âmes d’enfants.
Bienvenue au
Petit peuple à plumes !
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Ou la vie rêvée des pigeonniers…
Pigeon et colombe appartiennent tous les deux à la même famille des « colombidae« , la colombe serait la version blanche et plus petite du pigeon. De fait, pigeonnier et colombier sont synonymes, utilisés l’un pour l’autre.
Pigeons Ramiers

Sur le cerisier : notez la tache blanche sur le cou




Tourterelle Turque
Ce n’est pas celle que je ramenais d’un séjour, elle se nomme ainsi, car originaire de la latitude Turque, des Balkans. Reconnaissable par son demi-collier noir, elle ne se conditionne pas seulement aux attraits d’un potager (attirée par les graines cultivée), on la trouve aussi à son aise dans les parcs des villes.

Le rouge-gorge familier
Reconnaissable à sa gorge rouille et à son chant harmonieux, ce petit oiseau se fait aussi remarquer par son caractère assez peureux lorsqu’il n’est pas seul maître au jardin. Il ne vient jamais au bain d’oiseaux en compagnie des mésanges, se dissimule sous les haies au moindre bruit et mouvement humain. Il se conduit quelque peu comme l’Hermite, il recherche une absolue tranquillité pour méditer plus à son aise. En hiver, il picore les baies des arbustes et se rapproche de la maison.

Plutôt rondouillard, toujours à l’affut, discernant le moindre mouvement alentour ! Partiellement migrateur vers les régions du pourtour méditerranéen, le rouge-gorge reste en réalité plus souvent sur place dans la majorité des régions françaises ou l’hiver n’y est pas trop rude. Il est quasiment dans presque tous les jardins, commun à ceux-ci, dirais-je. Il défend avec acharnement le territoire qu’il s’est trouvé, c’est de fait pour cela qu’il est rare d’en voir plusieurs en même temps (sauf en période de reproduction).
Cherchant sa nourriture au sol en sautillant par mouvements saccadés, il ne se risque pas aux mangeoires du jardin, je le vois chercher sa nourriture, qu’il repère aussi, voltant sous les feuillages. Il est très utile au jardin, pour éliminer les parasites du sol, que d’aitres oiseaux ne chassent pas à ces endroits. Il s’invite de lui-même au jardin et aux alentours de la maison pendant l’hiver, mais là encore, choisira ces lieux par préférence : une haie bien touffue, composée d’espèce arbustive caduque et persistante, ce qui constitue pour un un bon endroit où il peut passer la nuit, se chercher des insectes et… se cacher aussi.
Des branches de faibles hauteur à côté de la pelouse, lui permette de se percher rapidement, à l’écart, quant on le dérange. Sa nourriture favorite, ce sont les vers de farine, il dore ! Ainsi que des petits graines, des petits bouts de gras.
Il est très actif en journée et au crépuscule, où il se nourrit de tout e qu’il trouve.
Le merle noir
En équilibre sur un fouillis de branchage du tilleul. S’il est un habitué de nos jardins et des cerisiers et fraisiers environnants, c’est bien le merle ! En ville comme à la campagne, l’oiseau niche tous les ans sur le même territoire. Ici est le merle noire mâle (bec jaune-orange).

Heureusement ! Malgré ses moult essais sur les planches des fraisiers, le merle fait entendre son chant mélodieux (et des petits cris d’alerte). Avec son plumage noir et brillant, le mâle se repère de suite, lorsqu’il sautille au sol, ou bien volette d’arbres en arbustes dans mon jardin. Il chante de façon mélodieuse fréquemment dans la journée, et se fait entendre le soir, pour annoncer la nuit… De fait, c’est un excellent réveil pour les auxiliaires environnants, perdus dans les horaires d’hiver ou d’été. C’est aussi un réveil à la maison, car eh horaire d’été, tant que je n’entends pas le merle, il n’est pas encore 6 heures sonnées.
Sinon, il passe ses entières journées à chercher pitance au jardin, de la nourriture au potager, et extirper les vers dans le gazon au jardin loisir. Il est très zélé pour ce type d’exercice ! Il est en fait omnivore, mangeant aussi bien des insectes, que des vers, des larves, des graines voire fruits.
La femelle construit un nid avec des matériaux apportés par le mâle, et y pend 3 à 6 œufs. Les petits sont nourris par els deux parents, pendant un mois. Ce que je remarque par les incessants allers et retours. Les chats et les corbeaux sont ses principaux ennemis, ainsi que les pies qui peuvent détruire les nids.
Je dispose à partir du milieu de l’automne quelques petits récipients au pied des arbres et arbustes, avec une nourriture variée : graines de tournesol maison – fruits coupés – petits gras de jambon) que je renouvelle assez souvent. Car en fait, les merles ne vont pas dans les mangeoires installées.
La mésange
Espèce protégée en France, la mésange bleue ou charbonnière est une petite aérienne très agile, sans cesse sur le qui-vive, alerte et réactive au moindre mouvement qui lui est extérieur. En fait, difficile de l’approcher autrement qu’à bout de zoom et autres focus vidéos. En d’autres termes, c’st du vif argent, voire même assez nerveuse, du moins, une dynamique qui a la bougeotte… Comme qui dirait « très Mercurienne », la mésange !

2 espèces sont très courates dans nos jardins : la mésange bleue et la mésange charbonnière, à tête noire.

Les toutes petiotes – c’est-à-dire nées la dernières pluies – sont les plus remarquables à contempler. Ici, s’amusent d’un fouillis de branchages au sein du forsythia. Adorables elles sont !

Graines de tournesol – pignons de pin – miel.
Les mangeoires et autres bains d’oiseaux répartis à plusieurs endroits du jardin sont vite adoptés par le mésanges. De même que les le nichoirs et balancelle accrochés aux branches

La mésange charbonnière
Poussant des petits cris perçants, on dit que la mésange « zizinule » lorsqu’elle chante. Toutes le mésanges sont de formidables alliées au jardin ! Elles débarrassent systématiquement arbre et arbustes de larves et insectes qui y trouvent refuge. Mouches, coléoptères, punaises, pucerons, vers de fruitiers constituent leur menu, lorsqu’au sortir de l’hiver je cesse
d’intervenir, afin de les laisser aller à leur cycle naturel. Autrement, je les vois particulièrement actives en hiver et au début du printemps, elles nettoient les arbre branche près branche, souvent suspendues la tête en bas.

Au printemps 2022, je cède à l’achat de cette mangeoire que je trouve charmante, et j’en fait une balancelle estivale d’où les plus hardis familiers du jardin ne vont pas tarder à venir voir ce qu’il se passe par ici. la famille des mésanges y fait école depuis, et ne manque absolument de rien, quant à l’environnement immédiat.

Comment l’accueillir ?
En été, leur régime est plus diversifié, mais elles continuent à ingurgiter qui se trouvent sur leur passage. Je remarque que la mésange bleue reste sur les hautes branches, alors que la charbonnière se nourrit plutôt sur les branches basses et à terre (ci-dessus), où elle prélève larves et chenilles. Généralement, les mésanges adorent nicher dans les trous des vieux murs et des arbres, mais ici, elles se sont tout-à-fait adaptées aux divers nichoirs que j’ai mis à leur disposition et qui doivent bien correspondre leur correspondre.
Les haies de cyprès du fond du jardin, le tilleul, elles adorent, elles y trouvent le gîte en plus du couvert 😉
Je cultive des tournesols à leu intention, car elles adorent les graines de ceux-ci. Chaque année, le Soleil est de fait sur ma liste des semis printaniers – qui plus est Bio. Je leur prépare également à l’entrée de l’automne et en hiver de bons p’tits plats de céréales, d’oléagineux, telles cachuettes écrasées, noix, noisettes) des petits morceaux de fruits, petits bouts de gras de jambon, de quoi s’abreuver (ne pas oublier) etc. Puis, je n’oublie pas de nettoyer régulièrement les mangeoires.
Mes Anges…
Aux beaux jours, elles bénéficient de bains.
Captivant, de les voir ainsi, vivre d’amour et d’eau fraîche.

Tout n’est pas mort, non ! Cela me réjouie, que des aériennes comme celle ci-dessous, se posent sur le saule pleureur qui a rendu l’âme dans l’année 2016.
Aujourd’hui, rien ne me décide à déraciner cet arbre qui eut un beau vécu. Bien au contraire ! S’il doit être utile à quelques volatiles gracieux, je n’en ferais point davantage. Un petit élagage de ci, de là, et voilà la Charbonnière.
La cuisine ayant vue sur le jardin et le potager, j’aime beaucoup les observer. Ce sont des amies qui ne se laisse guère approcher et au moindre mouvement alentour, elles partent en courant. Observez-les, vous verrez… C’est aussi pour cela que cet oiseau est très souvent à la cime des arbres : en fait, la mésange recherche la tranquillité et se protège de ses proies. Elle n’apprécie nullement de jouer à chats perchés. D’autant plus que sur nos arbres il n’y a pas de « larmier », contrairement aux pigeonniers.

Chaque espèce de mésange demande un orifice d’entrée de nichoir de taille différente. J’ai mis des nichoirs très en hauteur pour la mésange bleue, beaucoup moins haut pour la charbonnière. Puis d’un autre jour, est une autre histoire…
La grive musicienne
Ce joli oiseau d’aspect dodu, chante toute l’année, de l’aube au crépuscule, d’où un patronyme qui lui sied à merveille. La grive de fait présente dans on jardin, mais aussi dans la plupart des jardins.
Les oiseaux se plaisent au jardin, parce qu’ils trouvent de quoi s’abriter, déjeuner, se percher, nidifier, se prélasser… La grive musicienne s’est mise à l’abri dans un coin touffu que lui procure les cyprès bleus (come bien d’autres oiseaux aussi). La grive n’est pas craintive (sauf prédateurs), pas asociale. Elle se lisse volontiers approcher pour un éventuel focus. D’ailleurs, les haies constituant son principal refuge, là où elle peut nicher et aussi, trouver une bonne partie de sa nourriture.
😉 Ami(e)s des oiseaux, replantez si vous le pouvez des haies vivantes, même derrière les grillages et palissades de clôture. Cela profite toujours aux oiseaux et aux petits mammifères. C’est toujours préférables à ses hauts perchoirs nommés » éoliennes » qui de leurs ailerons, font véritables gaspachos de volatiles.
La grive vient au jardin quand la haie d’ornement prend un aspect un peu sauvageon, ou quant on a des bosquets arbustifs disséminés à plusieurs endroits. Les jardins en lisière de bois sont aussi visités. Son ennemi le plus redoutable est le chat, surtout en période de reproduction (avril-mai), car les parents s’occupent des petits encore 2 à 3 semaines après qu’ils aient quitté le nid familial, construit soit au creux d’une haie, ou dans un petit arbre.

La grive se confond parfois avec une merlette, car on la voit sautiller pour trouver sa nourriture.
De couleur brun clair et blanc tacheté, portant robe qui prend l’apparence de petites écailles sur la poitrine, cette musicienne se remarque facilement. Son bec est court et droit, ses yeux ronds très foncés et assez grands. Elle se nourrit l majeure partie du temps au sol, en attrapant des lumas (escargots en ancien parler berrichon), dont elle casse la coquille en les tapant contre des pierres par exemple. Je ne l’i vu jusqu’à présent rejoindre l’une ou l’autre des mangeoires. Son déjeuner se compose aussi de vers, chenilles, insectes, larves, baies, groseilles, groseilles et parfois, de fruits tombés à terre.
De fait, pou en revenir aux escargots, son action les limite beaucoup dans mes cultures de salades, épinards, etc. Elle est dont très utile à nos jardins.

En hiver, je remplis régulièrement les mangeoires, mis comme je le mentionne plus haut, elle n’y vient pas se restaurer.
La grive peut migrer en hiver, pour des régions plus chaudes. Les mâles reviennent en mars, les femelles choisissent le lieu de reproduction. De fait, on évitera d’éclaircir les arbustes et haies buissonnantes à cette époque de l’année.
Le moineau domestique
P’itit piaf, pour les intimes !

Le Chardonneret élégant
Quelle élégance a cet oiseau ! Je le vis pour la première fois en 2020, aller d’une fleur de tournesol à l’autre : semées et arrivées à pleine maturité estivale, puis plantés devant une haie de cyprès bleus.

Non loin des cyprès est une haie de groseillers entre le jardin d’agrément et le potager. Je pense que c’est ce qui l’a attiré peut-être davantage : les groseilles lui apparaissant d’une assez bonne hauteur.

Son plumage est sublime ! Pour ne pas qu’il s’envole afin que je puisse le photographier – non sans une certaine émotion d’ailleurs par ma découverte – je n’ai pas agit de près, ayant fait un focus qui m’a semblé convenable sur l’instant « t ».
Pinson des arbres
Généralement, le pinson mâle se reconnaît, comme ci-dessus, à sa calotte grise et du blanc sur les ailes.


[Naturellement engagée] : Avec les températures vraiment en-dessous des normes saisonnières depuis 3 jours, Ami(e)s, n’oubliez pas les oiseaux en tourisme dans votre jardin : pensez à eux, en leur donnant de la bonne nourriture (graisses faites maison & p’tits morceaux de lard, miel et graines d’excellente qualité, un peu d’eau… Bref, plus rien à voir avec ce que l’on trouve dans les supermarchés et de ce fait, et bien ils reviennent chez moi, ils ont maison d’hôtes (gîte & couvert assuré).
Une suite bientôt…
26/04/23 : entendue seulement, la cisticole, très reconnaissable à son chant.
À l’arrière du jardin.
Le pigeon est très joli en vol. Merci Muriel, jolies photos
I doit y avoir bonne nourriture ici🐦
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Bonjour Muriel.
C’est une chance d’avoir en ton joli jardin, d’aussi jolis oiseaux ! Chez nous à Gargilesses, ce sont des pigeons, des moineaux et des merles, pas d’autres.
Passe une bonne semaine !
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Oui, je reconnais cette aimable compagnie aérienne qui est un vrai plus dans un jardin attenant à un chez soi. La plupart ne sont pas compliqués en termes de nourritures, ils aiment ce que je leur donne. Ceux qui restent au sol, comme par exemple, tourterelle et pigeons, ils récupèrent ce que que les gracieuses mésanges ont échappées en route.
Globalement, j’aime collectionner de tels moments en contact avec la nature, plutôt que de collectionner des choses 😉
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