Le saviez-vous ?

Les druides employaient des arbres à caractère magique via leurs cérémonies – d’incantation – le bois du noyer, du noisetier, du coudrier, du sorbier, de l’if, du bouleau servait de support intermédiaire et à la fois occulte. On y traçait des lettres sur les coquilles de noix fendues de moitié, des gravures sur les bois, lesquelles symbolisaient pour le peuple celte une force reconnue.

Êtes-vous déjà allé vous promener du côté de la vallée de Germigny par exemple ?

Là-bas, vous y croiserez assez souvent des noyers en bord de départementales, petites routes de campagne allant vers Ourouer-les-Bourdelins, et pas seulement. Sur la commune de Dun-sur-Auron, et bien d’autres de la même veine régionale. Lors d’un précédent passage, je croisais ainsi deux majestueux noyers bien campés dans un champ, avec cette singularité que je trouvais qu’ils étaient très proches l’un de l’autre. À quelques tours de roues de vélo avant d’arriver au niveau du moulin à vent.

Alors qu’en retrait de la commune d’Issoudun croissent de majestueux noyers en ourlet de route, c’est pourtant bien sur le marché de la commune que je croisais les noix du Val de Germigny. Plus grosse que la noix de Grenoble, je vous dis dans un prochain article pourquoi la noix est ainsi louée du terroir.

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