Tout ce qu’il faut pour la réaliser ! Elle accompagnait une dégustation de fromages gourmands, dernière semaine de février – voir .

Du marché à la préparation de 2 bocaux

Et si c’était bon plus qu’on ne le croit ! Avant de voir se conclure l’hiver, j’ai voulu tester la confiture de banane, ayant d’autres vues et partages pour les mois à venir.

La confiture est déjà en attente sur la verdure, montrant à l’intérieur de deux de petits pots son joli minois. Depuis l’après midi du 25 février, alors que je la préparais par un week-end des plus cléments pour une dégustation éveillant les papilles environnantes, de la pure gourmandise autorisée et même recommandée pour la santé et le moral ! Confiture à savourer tant au petit-déjeuner, qu’au goûter, etc. Eh oui, je connais de grands enfants qui ne font pas impasse sur le goûter, en fait, qui n’ont jamais voulu s’en départir.

Préparation en images
& Ingrédients :

Puis 3 morceaux de la peau à récupérer pour cuire avec les bananes. L’ajout du citron, c’est pour éviter de faire noircir trop vitre la banane, comme on le fait aussi pour l’avocat.

Après avoir disposé bananes, citron, gousse de vanille grattée puis la cannelle, je fis cuire à feu doux (a vite fait d’attacher au fond : surveiller souvent) un peu plus d’une vingtaine de mn. En effet, je préférais baisser le feu davantage et cuire quelques minutes supplémentaires.

Je me suis lancée à la réalisation de la confiture. Je dois dire que je prends un grand plaisir à réitérer chaque fois, depuis de premiers balbutiements, il n’y a pas si longtemps au fait !… Quelque chose comme un an et quelques Lunes. ceci étant, après avoir pesé le kg de bananes débarrassé de la peau, je coupe chaque fruit en rondelle en rondelles. Je les ai mises à cuire dans la bassine à confiture, puis je les ai saupoudrer de la quantité de sucre que j’ai recouvert du jus du citron que je venais de presser. N’hésitez pas à me dire en commentaires si vous auriez fait de même, ou bien différemment 😉

Pour parler le berrichon, cette recette n’a vraiment rien se « sorcier » à réaliser ! De mémoire et du peu de confitures que j’ai faites à ce jour, je la fis, autant que je la destinais à une semblable vertu que les précédentes. D’originalité que je lui trouve au regard d’une compote, voici ce qui me motivait au retour du marché.

Je n’ai pas eu besoin d’écumer. Test de l’assiette fait, je remplissais, encore bouillante, la confiture obtenue pour deux pots préalablement stérilisés. Dernière étape, le « retournement » chassant l’air… Et voilà, c’est fini ! Il ne reste plus qu’à déguster ou conserver.

« Séance dégustation » & Valençay AOP