Ils sont aussi appelés « jardins partagés ». Espaces de culture collective où des habitants d’un même quartier se réunissent pour cultiver des plantes, des légumes, des fleurs ou des herbes aromatiques, voici le sujet. Ces jardins peuvent être créés sur des terrains vacants, des espaces publics ou des jardins privés mis à disposition par des particuliers ou des collectivités.

En fait, se sont des espaces de jardinage collectif où des membres d’une communauté se rassemblent pour cultiver des plantes, des légumes et des fleurs. Des jardins qui peuvent être situés dans des zones urbaines ou rurales, ils sont souvent gérés par des associations, des collectivités locales ou des groupes de citoyens voire des communautés religieuses.
Bien plus qu’une mode, c’est devenu un état d’esprit en passe de s’intégrer de plus en plus au cœur de nos communes dans « l’Utile et l’Agréable. » Je suis tout-à-fait ouverte à ce
type de volonté, d’initiative sociétale relayée par nos communes. Pour connaître les emplacements de ces espaces mixtes et socioculturels, ainsi que les informations les concernant, nous pouvons nous renseigner auprès des mairies. J’ai le souvenir d’avoir vu passer quelque chose comme cela l’an dernier sur Bourges aux infos régionales.
Habituellement, un jardin partagé sera donc un jardin créé collectivement par des habitants d’un même quartier. Mais également, ce peut-être aussi une partie de votre potager que vous décidez de partager avec des personnes qui ne résideront pas forcément dans le même quartier que le vôtre, alors qu’elles ont envie de cultiver leurs salades, etc.
C’est en quelque sorte une partie de
notre potager que nous partageons de façon tout à fait désintéressée, au contraire, dans un élan de partage et de fraternité. C’est comme cela que je conçois. Vouloir tendre vers cette idée, l’expérimenter même cette année 2019 par exemple, pourquoi pas ? Ce n’est pas seulement cultiver, c’est également tisser du lien, échanger et faire que selon la participation de chacun, on transforme notre vision sur nos habitudes. Tout compte fait, cela me semble réalisable même dans les plus petits jardins. Qu’en pensez-vous ?
C’est en tout les cas un moment pour le « faire ensemble » et je me dis que ce doit être tellement bien de se retrouver pour une passion commune, un partage comme celui-ci !

Ensuite même, pourquoi pas un petit apéro, un déjeuner partagé…

Voici quelques avantages
des jardins partagés
- Renforcement des liens sociaux : Ils favorisent les échanges entre les membres de la communauté, renforçant ainsi le tissu social et encourageant des relations amicales.
- Éducation et sensibilisation : Ils offrent des opportunités d’apprentissage sur le jardinage, le respect de l’environnement, et l’importance de la biodiversité.
- Accès à des produits frais : Les jardins partagés permettent aux participants de cultiver leurs propres fruits et légumes, contribuant à une alimentation plus saine.
- Bien-être : Jardiner est une activité qui peut réduire le stress et améliorer le bien-être mental et physique.
- Valorisation des espaces urbains : Ils transforment des friches ou des espaces sous-utilisés en lieux de vie agréables et utiles.
Ces initiatives sont souvent soutenues par des associations, des municipalités ou des groupes de citoyens, et peuvent inclure des événements communautaires comme des ateliers, des fêtes de récolte ou des échanges de graines.

Une lavande !
Ma fleur préférée.
J’aimeJ’aime
Merci Jeanine ;)
C’est un Perovskia. C’est vrai que vu ainsi, cet arbuste peut faire penser à une lavande arbustive.
Bonne journée !
J’aimeJ’aime
J’accueille votre idée de jardin collectif Muriel.
Pas très envie de voir cela du côté des Grands villages. Je vous mail en matinée, je suis rue de Sully.
Amitie
J’aimeAimé par 1 personne
C’est joli chez vous Muriel. J’apprécie énormément l’état d’esprit.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Jeanot ;)
De Saint-Amand-Montrond aussi ?
J’aimeJ’aime