Quelques traditions régionales d’une province que j’aime, avec vous, partager. Aussi, des visuels droitement issus des traditions de Noël, vers lesquelles je suis allée.
Autrefois, en campagne berrichonne, il y avait un temps où l’on disait qu’à Noël, pendant la messe de minuit, les animaux de l’étable avaient le pouvoir de parler. D’assez nombreux ouvrages sur les traditions du Berry (pas seulement celles de Noël) ont été édités, compris entre ceux-ci les contes et légendes contenus dans la littérature sandienne (Les Légendes Rustiques notamment).
Nombreux aussi sont les amateurs de ces ouvrages de mémoire reliés au terroir et aux traditions populaires, qui ont encore en tête l’une ou l’autre de ces histoires issues d’une époque pas aussi révolue que cela, et qui savent fort bien nous les conter.
Parmi les histoires de Noël, celle de la « Cosse de Nau » est fort connue de très nombreux Berrichons, à tel point qu’elle fait partie des plus populaires d’entre elles : la « Cosse de Nau« .
Au cours d’une période et de son cycle de 12 jours, l’affirmation d’une identité familiale se resserre autour d’une bûche nommée « cosse de Nau » dans toute la campagne berrichonne. La famille paysanne était très attachée à ses valeurs. Lors du solstice d’hiver, le Berry célébrait le culte du feu et la lumière renaissante. Grâce à une bûche issue d’un chêne vierge de tout élagage, et abattu à minuit.
La cosse était alors bénie via une branche de buis, ce qui, de fait, lui conférait un caractère sacré, des vertus magiques aussi. On procédait donc à l’allumage et à la bénédiction de cette bûche, puis, paysans et villageois se rendaient au bourg, à l’église et les cloches de celle-ci pouvaient sonner alors à toute volée. Connaissiez-vous cette histoire ? Si vous êtes Berrichon ou Berrichonne, je suis presque sûre que oui…
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De belles fêtes à toutes et tous !
Miam Berry 
Muriel,
Passage sur ton blog, plein de bises que nous t’envoyons tous quatre d’Aubigny.
Il neige sur la France, vus les premiers bulletins météo télévisés. En Berry, nous avons surtout la pluie et les rafales de vent.
Que se serait beau un Noël banc chez nous, retrouver les Noëls heureux de notre enfance, entre les paysages et les contes que mes grands-parents ne manquaient pas de nous raviver, lorsqu’ils étaient encore à Bourges, ma mignonne !
Bravo pour tes partages nombreux sur Miam Berry, nous aimons beaucoup et on te le redit joyeusement.
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J’aime « l’ambiance » Noël, dans la rue et tout.
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Noël est synonyme de stress pour nous, même à la campagne.
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Sapin, crèche faits aussi.
J’aimais bien la période de noël étant enfant, comme beaucoup je suppose, la magie de noël, en chansons, en contes et histoires, on retrouve nos traditions, beaucoup !
J’aime beaucoup me connecter à l’esprit de Noël, nos vies ne seront pas si longues, mais savoir reconnaître des valeurs dans cette période.
Amitié à Miam Berry et Berry au coeur de France!
Plein de bises
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Enfant, comme tous les enfants c’était ma période préférée de l’année parce que ça rimait avec vacances, neige, sapin, repas de famille et bien évidemment cadeaux.
Dans la famille et chez les beaux-parents, à Tournon saint-Martin, ils fêtent encore, alors on suit, petits-enfants et enfants pour faire plaisir. Et ma belle-famille, c’est comme chez toi Mumu, très crèche.
Pour ma part, Je me fiche de recevoir ou non des cadeaux, ceux qui ont envie de m’en offrir ont toute l’année pour ça. Idem, j’offre des cadeaux spontanément sans me fixer particulièrement sur une date.
Ps: as-tu parfois des nouvelles de la conteuse de l’Indre? Je ne sais pas si elle a publié un nouveau livre.
Passe de belles fêtes !
Bises
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C’est là qu’on reconnait les gens de qualité !
J’apprécie Noël, la période, l’ambiance, les marchés de Noël sur les places de centre ville, les stands de vin chaud…
Cependant, à Lury, aucun sapin, aucune déco. Un sapin ça prend de la place, place que l’on a pas, donc quitte à, autant ne rien avoir de particulier.
Coté cadeaux, on gère avec un système avancé de listes participatives, maintenues toute l’année.
Amitié et bonnes fêtes !
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J’adore Noel, c’est vraiment une fête familiale chez nous.
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Muriel, je croyais que nous allions avoir de la neige lorsqu’elle tombait, il faisait froid. Évidemment, pas donné le loisir d’aller faire une bataille de boules cisterciennes au parking de Noirlac, franchement, les hivers du Berry sont désolants, bien plus que ton bonnet que tu me dis affligeant. Tu ne trouves pas?
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