
Cet intérêt culturel consacré aux œuvres de George Sand – par les saveurs littéraires – je l’ai préparé pour vous le partager avec un très, très grand plaisir. Une rencontre avec les Berrichons, bien sûr, et aussi, encore aujourd’hui, dans l’esprit des gens qui ouvriront leur appétit via Miam Berry, un centre d’intérêt pour une rencontre nourrie. Internautes de passage sur mon blog, touristes, passionnés de longue date et animés d’une saine curiosité pour ce parcours de découverte que je propose, bienvenue !
Mythique service de table,
chez elle à Nohant
Pour ces rendez-vous gourmands publiés, cette grande femme de lettres est, de fait, au cœur de ma petite cuisine. C’est vraiment un enrichissement culturel, historique, pour qui a lu l’écrivaine, un enrichissement dans le sens où la parole de cette grande dame « nous a dit » et ses œuvres écrites « nous ont transmis ». Nécessité de resituer le contexte culturel de son époque, bien entendu, au regard d’autres écrits plus tardifs et peut-être moins écrits dans la tradition et selon les auteurs ayant écrit – par après – quant à ses Carnets de cuisine.

Après ce premier article dédié à la Bone dame de Nohant, je vous propose d’en découvrir un second. Avec celui-ci, on a un titre amplement évocateur ; la cause des origines autour d’un ouvrage qui m’a énormément plu à parcourir, l’un de ses tous premiers publiés dans le genre culinaire, lequel est très authentique, livré à une passionnante escarcelle d’anecdotes historiques, de succulents événements. Non seulement la demeure de Nohant était souvent le centre vivant des plaisirs de la table, notre bonne dame appréciait beaucoup de mettre la main à la pâte, travaillant elle-même à la réalisation d’une bonne cuisine à réjouir amis et convives. George Sand s’est toujours montrée très attentive tant aux expressions qu’à recevoir, à Paris et à Nohant. Ce n’est pas anodin et d’ailleurs, lorsqu’on lit son ciel de nativité, pas grand-chose relève du fruit du hasard !

Merci Muriel, très bonne idée. Je remarquais ce week-end que tu as de plus en plus d’échanges par les commentaires. Ne te laisse pas submergée par les réponses, mais pour ça, c’est nécessaire d’essayer que tu répondes peu de temps après, sin non tu n’arrives que difficilement, je vois.
Amitié
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Bonjour Lorette,
Je te remercie vivement pour ce judicieux conseil, j’en prends note dès cette matinée du 11, démarrant déjà sur les chapeaux de routes à presque 8 h (de retour jeudi en Berry)…
Au plaisir ;) !
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