2022
Ils sont plusieurs, déjà belles rondeurs à croître au Soleil estival du potager. Et cependant, je n’avais rien prévu à leur propos cette année, ayant quasiment déménagé le potager quelques jours avant le printemps. Comme quoi ! Sucrine du Berry… Melons… Pastèques… Cornichons (encore qu’eux ont été tuteurés pour gain de place)… Tout cela fini par occuper une bonne partie du jardin, mais c’est un choix.

À ce stade les 2 pastèques ont été pincées à deux reprises, lorsque la deuxième feuille était. Au fur et à mesure des ramifications, j’en suis en ce moment au-dessus de la 3e feuille et c’est bon ! Les pastèques du potager 2022 sont en train de se développer avec ce qu’elles ont et d’arrosages suivis avec plus de régularité depuis le début de juillet.


Fruit de la Pastèque
reposant sur feuilles de rhubarbe
Pour qu’il ne soit pas au contact du sol, j’ai disposée des feuilles de rhubarbe coupées au besoin (recette ici), avant d’avoir mis un bon arrosoir matinal.

Melon – idem
J’ai d’abord procédée à l’apport d’un peu d’engrais de fond, via le compost au fond du potager. Deux bonnes poignées que j’ai enfouies dans le trou de plantation, avant d’y installer 3 plants (non semés – non bio). Il s’agit de l’espèce « Cézanne F1 » à peau lisse et de chair orange, bien colorée.

Cette année 3 plants – Et je crois avoir eu bon nez, au égard des épisodes caniculaires, le melon, de même que la pastèque, ont nécessairement besoin de bons apports régulier en eau. Attention toutefois, car si l’un et l’autre apprécient la régularité, ils n’aiment pas être submergés, qui fait pourrir leurs racines. Depuis leur installation, je leur donne à boire le matin, pas le soir tard, cause de sensible risque d’humidité stagnante aussi. Quoi qu’il en soit, on les arrose surtout lors de la période de formation des fruits, aimant un sol riche et frais pour bien croître.

Paillés ils sont ! Ils le resteront jusqu’à la fin de leur saison fruitière. Avec ce que j’avais sous la main au moment, c’est-à-dire avec quelques larges feuilles de rhubarbe et tonte de gazon séchée. Je n’ai pas eu à tondre depuis… triste cheminement caniculaire. Trois petites plaques découpées d’un ancien châssis plastic, pour être glissés entre les fruits et le sol.
Sans précédent !
Rendez-vous compte. Entre juin, juillet et août de cette année, nous aurons connu en si peu d’intervalles les trois plus grands épisodes caniculaires qui ne s’étaient pas produits jusqu’alors, les antérieurs remontent à…
Au fait, c’était quand ?

A partir de mai, j’ai testé deux variétés hybrides achetées au marché de la Halle Saint-Bonnet Bourges (Anasta et petit gris de Rennes). D’ordinaire, le melon marche bien chez moi (pas la pastèque en revanche) qui ont remplacés le charentais. Je pense que j’aurais du rester sur celui-ci, pou sa facilité de culture, précoce, qui a bien donné l’an dernier.
Ceux mis cette année sont chétifs à comparaison avec la culture 2021, en bonne terre. Comprendre ses petites erreurs et déjà savoir ce qu’il faudra faire l’année prochaine;
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