J’ai une vraie histoire de campagne à vous raconter ! Celle conduisant certaines de mes escapades au coeur d’une campagne bien nourrie et qui parfois, me fait eencore croiser une particularité paysagère, attanchante et à la fois émouvante du patrimoine naturel de la province berrichonne : la bouchure.
Vous savez, ces parcelle de haies naturelles, assez droites lignes, qui filent allègrement, parfois à perte de vue, qui autrfois servaient surtout à délimiter entre elles des parcelles que l’homme préservait, en termes de prairies, de parcelles céréalières, voire de champs et alors que les volatiles, tels chouettes effraie notamment, pouvaient à loisir venir y nidifier, s’abriter, s’acclimater, de même que les de nombreuses espèces d’oiseaux se sezrvant de ces haies comme perchoir, etc.
Bien moins nombreuses désormais, en sont encore au craux d’une vallée, d’un bocage lorsque l’homme, par sa toute bienveuillance à son environnement, prends conscience du magnifique patrimoine naturel et animalier aux uages multiples. (pour exemple nétant pas vue de l’esprit, au diable les éoliennes !… ces moulins à vents contemporains.
Cert article, pour ausi vous porposer une recette, n’hésitez pas et en commentaitres, dites-moi… 😉
Un alcool fabriqué à partir de « jeunes pousses » de cette « l’épine noire » qui pousse dans nos bouchures.
Une recette qui n’est en réalité issue d’aucun livre du Berry, mais d’une histoire réelle d’un ami qui se reconnaîtra et qui me l’a précieusement confiée comme témoignage. Celui d’une maman de la campagne, elle se livra en bien des occasions à la récolte pour la recette d’une liqueur. Elle peut ausi servir de base à n’importe quelles autrtes pousses d’arbustifs.
° À faire massérer dans de l’eau de vie, du vin rouge, et du sucre, le tout pendant au moins trois semaines. En fait on peut faire des alcools avec n’importe quoi. Chaque essence apporte un goût différent.
L’histoire se raconte dans le fond d’une bouteille de campagne de notre Berry et on peut même ajouter à un alcool fort toutes sortes d’ingédients pour le parfumer. Je ne suis pas friand de ce genre de chose , mais ça se fait : l’histoire de la vipère dans la bouteille de gnôle est vraie !
Ingrédients : vin ou liqueur pousse dépines – Apéritif parfumé.
1 – Cueillir les jeunes pousses d’épine noire (prunelier) début mai, plutôt à la fraîcheur matinale.
2 – Mélanger dans un grand récipient :
– 5 litres de Cabernet rouge (ou Sauvignon blanc)
– 1 litre d’eau de vie
– 750 grammes de sucre
– 5 poignées de jeunes pousses (longueur maxi 15 centimètres pour n’avoir que de la tige tendre)
– 3 – Laisser macérer 3 semaines en remuant régulièrement. Stocker dans un endroit frais, sec et sombre, tel une cave.
4 – Filtrer et mettre en bouteille. Servir frais.
À consommer avec modération.
Photo sur bouchures à vous montrer dans cet article.
Ici depuis le bocage Saint-Amandois.

Je suis de Guéret, dans de la famille qui est de la Creuse, le grand-père connaissait, mais c’était avec des mures, pas vraiment la même chose.
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C’est par le prunelier la pousse d’épines, d’épinete. Un bon apéro qui ne se fait plus vraiment.
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Il est devenu un peu sourd notre ami Cbiau, il faut donc lui parler du Bery un peu plus fort que nous avions l’habitude. C’est qu’il s’y connait à Montierchaume, ce goûteur de cru 🙃 !
Je comprends Daniel, les anciens connaissent plus la liqueur de prunelle faite ou pas avec la petite brindille écrasée en chemin, c’est pourtant ça qui torrifie l’ensemble.
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Dans la campagne de Saint-Just, je vous la prunelle quiu a vommencée à fleurir. J’aimerais essayer d’en faire . Je pense qu’il faut cueillir les pousses au printemps mais attention, ça pique!
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