Velouté de fromage de brebis aux noisettes

La semaine passée, nous avons partagé un délicieux velouté de fromage de brebis aux noisettes, que j’ai réalisé pour 4 gourmand(e)s. Sa préparation m’a pris 20 min, dont 5 mn pour le cuir et 2 h d’attente au réfrigérateur. En fait, c’est un velouté froid qui peut être servit comme hors-d’œuvre au dîner.

A la base, un formage de brebis frais du Berry, du romarin du jardin, des noisettes décortiquées, du lait d’amandes.

Ingrédients pour 4 personnes :
Préparation : 20 mn – Cuisson : 5 mn – Repos : 2 h

100g de fromage frais de brebis
1 échalotte
2 petits brins de romarin
75g de noisettes mixées
60 cl de lait d’amande
sel, poivre

Quoi qu’il en soit, je vous propose une délicieuse recette, qui plus est très facile, juste le temps qu’elle demande pour passer au repos qui lui est nécessaire. C’est parti !

1 Je commençais par passer les noisettes au broyeur afin de les réduire en miettes, mais on peut aussi les concasser plus grossièrement. Après cela, je les mettais quelques secondes à chauffer dans une poêle pour les torréfier (à feu doux, 5 mn).

2 L’échalotte est émincée, puis mixée quelques minutes dans un robot (ou blender) avec le fromage frais, la moitié des noisettes, le lait d’amande et le romarin. Saler, poivrer et réfrigérer 2 h.

3 Répartir dans des ramequins ou verrines. Terminer en parsemant le reste de noisettes.

6 commentaires Ajouter un commentaire

  1. Anette Coudray dit :

    Bonjour Muriel.

    Je suis en émerveillement depuis ma visite ce matin devant votre service. Quelles sont superbes ces roses. Pourriez vous avoir la gentillesse de me dire ou se les procurer ?

    Merci d’avance.
    Jussy-Champagne

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    1. Muriela dit :

      Annette, merci pour votre sympathique passage sur le blog 😉
      J’aurais vraiment aimée vous répondre, autrement qu’à vous dire qu’il s’agit d’un service de 12, nappe rectangulaire assortie de 12 serviettes entièrement brodées main par une brodeuse que beaucoup de personnes connurent sous son nom de religieuse « sœur Geneviève-Marie » : directrice de l’Abbaye de Déols/ responsable d’un établissement d’adultes pensionnaires, 3 rue Molière à Bourges et directrice du couvent de Charenton-du-Cher.

      De nombreuses religieuses étaient ou sont expertes en broderies. Fut une époque ou ce que l’on appelait « trousseaux de familles » étaient réalisés par des sœurs pour être remis à des personnes extérieures à la communauté. Elles étaient aussi d’excellentes couturières et initiaient des adolescentes, par exemple au sein d’écoles ménagères. Il en fut ainsi à Vierzon, à Briare, Montoire-sur-le-Loir, à Nevers et d’autres. Bien sûr, ces institutions ont évoluées en même temps que leur époque, mais l’art de la broderie existe encore de nos jours.

      J’ai eu mon époque aussi : pas de points de croix, mais points d’ombre, passé plein comme mes photos ci-dessus, jours Venise. Je fus à très, très bonne école, si je puis dire. Quoi qu’il en soit, j’aime toujours autant la broderie mais le temps me manque désormais. Voilà pour ce qui est de la broderie « chemin
      de roses ».

      Aujourd’hui sont encore des passionnés de broderie qui s’inscrivent au sein d’associations proposant ce loisir, alors n’hésitez pas !

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  2. Daniel dit :

    Tres joli!
    Merci pour cette recette très appétissante Muriel 😍 excellent chez toi !!!

    Que de casquettes amie 🌐🍜🏕💒🌟

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  3. Karina dit :

    Je suis une fidèle gourmande de votre blog, merci, je vais essayer cette recette de velouté aux noisettes 😋🏕

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  4. Séverine 60 dit :

    Bonsoir Muriel,

    Un petit message juste pour vous remercier de faire ce blog et de l’alimenter de vos superbes recettes ! J’adore! C’est mon blog de cuisine préféré !

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  5. M et Mme Brillet Francois dit :

    Muriel,

    Nous sommes de Bourges et notre couple n’est plus très jeune. Nous avons connu ce couvent et quelques-unes de ses sœurs lorsque nous avons, mon époux et moi, demandés une retraite de 3 jours après le décès de notre fils. Les religieuses ont été très attentionnées envers François et moi et nous ont vraiment été d’une aide très précieuse comme vous pourrez vous en douter, Muriel.

    Je ne sais pas si vous avez connu la mère supérieure, je crois que c’était Louise et elle était responsable de cette grande communauté qui envoyait des colonies de vacances aussi, avec des religieuses de Bellevue. Nous étions assez surpris d’avoir pu constater que cette communauté du Berry était très en avance dans leurs réflexions pour l’époque, aujourd’hui, nous disons  » dans le vent « . Remarquable couvent de Bourges que nous avons connu par notre malheur et notre retraite spirituelle.

    Nous vous remercions très belle âme Muriel, nous vous faisons parvenir un courriel.
    Cordialement et merci pour votre blog que nous découvrons cette semaine.

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