Respectueux de l’environnement


Je cultive le jardin, assorti d’un potager bio attenant, depuis 12 ans déjà. Aujourd’hui, cet environnement est, au fil des ans, devenu très 60 % bio – j’espère toutefois le faire évoluer encore un peu : en fonction de sa superficie, de son ensoleillement, de la nature du son sol…, j’utilise quelques méthodes de culture et de soins adaptés, les plus appropriées possibles en termes naturels et recyclables produits également.

Privilégiant des produits sains (même les graines /semis), j’ai commencée à repenser tout le jardin en 2008, très inspirée par les judicieux conseils partagés. Je cultive un potager attenant au jardin et à l’environnement immédiat de ma demeure : aucun produit phytosanitaire n’entre plus jamais depuis et une culture raisonnée du plaisir et de la pleine conscience du « faire » autrement. Les hôtes s’en ravissent : les oiseaux, les papillons, petits bourdonnants y sont les bienvenus, et autres petits amis : chaque année, un hérisson me rend visite !

Côté cuisine, c’est bio aussi souvent que cela peut l’être. Le bio est un mode de vie qui s’est choisit sur des critères de goût et de valeur nutritive. 

Il m’arrive d’acheter à des maraîchers et producteurs bio sur les marchés, des légumes variés et de saison et par d’autres fois, je découvre une possibilité de tester en conditions réelles la validité de produits « maraîchage » mais aussi sur le marché local.

8 commentaires Ajouter un commentaire

  1. Claudine dit :

    Je me suis remise à consommer sain, c’est une prise de conscience qui doit se faire dans l’esprit de chacun.

    Je ne sais pas Muriela, j’ai entendu parler du film « Zéro phyto, 100 % bio », vous dit-il quelque chose ?

    Amitiés

    J’aime

  2. Muriela dit :

    Merci de visiter mon site, Claudine 😉

    S’il est un film, à ce propos, que j’aurais appréciée de voir, c’est un de cette nature, tout à fait !
    Je manque d’info, cela ne me dit rien en fait. Et donc, si vous aviez un complément à votre disposition il est le bienvenu.

    N’hésitez pas à rouvrir le fil, ce cite est celui de tout un chacun qui entend le parcourir et y écrire, partager et échanger via les articles que je vous propose, ou bien ceux que vous aimeriez voir ici.

    De belles fêtes de Noël je vous souhaite.
    Muriel

    J’aime

  3. Fabrice dit :

    Je vis près de St Amand Montrond, félicitations Muriel !

    Par rapport à votre jeu de questions, ce que je consomme comme bionaute qui vient en parler sur votre site, n’est pas suffisant sans doute : moins de 50 % sans jardin à cultiver. Effectivement, j’aimerais le plus possible manger bio.

    Sinon aujourd’hui, la grande mode est d’étiqueter des labels sur tous les produits bio. Mais quand nous allons chercher notre baguette que nous voudrions de bonne qualité, on trouve rarement le label alors que la baguette, le pain, les croissants se font chez le boulanger qui n’utilise pas une farine de qualité.
    Alors difficile de dire que le pain qui sort de la boulangerie X de mon village ou celle de St Amand Montrond où je vais souvent aussi est extra. Quand vous trouvez des insecticides dans la farine, le boulanger n’est pas prêt d’obtenir un label de qualité pour ce qu’il produit.

    Je consomme donc moins de 50% de bio.

    J’aime

  4. Léonelle dit :

    Ah un jardin bio , c’est une très bonne idée!
    Moi-même, j’ai débuté un potager bio sans traitements et je tâtonne encore.

    J’aime

  5. Olivier dit :

    Bonjour Muriel et les jardiniers bio!

    Pour notre potager nous associons aussi fleurs et aromates pour un jardin plus beau et plus productif, c’était notre rêve de toujours. Nous l’avons mis en pratique, c’est une manière de jardiner rentable.

    J’aime

  6. Lulu36 dit :

    Nous produisons bio chez nous dans l’Indre. Pour notre jardin quand nous l’avons commencé, la plus grosse difficulté dont on ne s’occupe plus, c’était que Jacky mon mari, qui cultive notre potager, prenait toutes les techniques inapplicables chez nous dans des magazines spécialisés. Il n’arrivait pas à concilier tout cela et dépensait de l’argent pour rien !

    On fait la rotation décomplexée des cultures dans trois petites parcelles et on ne suit plus aveuglément les diktats commerciaux qui abondent dans les livres aujourd’hui.

    J’aime

  7. Zenculture Limousine dit :

    Les pesticides sont des substances chimiques toxiques largement utilisées pour protéger les cultures des insectes, des champignons et autres mauvaises herbes. Les agriculteurs en déversent dans les champs, mais nous aussi, dans notre propre jardin.

    Nous sommes beaucoup à vouloir protéger la planète selon nos petits maxi, j’ai commencer par remplacer les pesticides domestiques en fabriquant moi même ( ma lessive, le champoing familial ) et au jardin idem, Muriel, je jardine au naturel 😉

    Amitiés

    J’aime

  8. Josette dit :

    Bonsoir tous,

    Bien sympa en temps normaux, je veux dire jardinage non obligé par ces temps de confinement, de changer notre état d’esprit. Je me joint volontiers aux commentaires des personnes précédentes et partage nos expériences de couple de jardiniers.

    Nous vivons en campagne, à Touchay Muriel, pas loin de Saint-Amand-Montrond finalement. Nous avons probablement à quelque chose près une météo commune au jour le jour. Cela fera notre troisième année d’installation ici et nous avons choisi le lieu pour un retour à la campagne, venus d’une grande ville comme Orléans. Notre lieu de vie a été choisi par rapport aux priorités que nous voulions accorder à une vie saine de la campagne, proches de la nature.

    Nous avons un grand jardin et cultivons nos légumes avec un verger à côté, pas très grand mais suffisant pour notre famille 4. Ici tout le monde a remonté ses manches pour faire de notre espace de vie familial un havre de vie comme nous le voulions. Nous sommes BIO mais nous ne lavons pas toujours été, nous le sommes devenus avec le temps. Je crois que parfois on s’ignore, on ne sait pas toujours et plus tard, on se découvre une philosophie d’être et on commence à élever nos pensées, notre conscience, comme vous dites, toujours progresser.

    Nous avons donc beaucoup passé de temps au défrichement et pour créer le verger et un potager à côté. Maintenant il faut dire qu’il n’y a pas photo et que ce que nous cultivons est exactement ce que nous voulions. Cultiver ainsi était notre rêve depuis plusieurs années avant d’avoir acheté à la campagne.

    Chez nous, on a des tempérament bien trempés un peu comme vous Muriel, qui je trouve allez assez à contre-courant, ce que nous parcourons de vos nombreux écrits. C’est tant mieux, on se reconnait assez bien d’ailleurs aussi, il faut des convictions pour ne pas fléchir, pour ne pas céder devant une société de consommation souvent irresponsable du grand et inépuisable ‘ tout achetable ‘. Hors confinement, mon mari et moi faisons nos shoppings qu’au Biocoop à Bourges milieu de semaine et nous ne mangeons plus que bio tous les 4 lorsque les enfants viennent le samedi et le dimanche à Touchay. Les grandes surfaces vendent les fruits et légumes bio bien trop chers, des marges brutes de 75 % plus élevées sur le bio que sur les productions conventionnelles ou par rapport aux maraîchers que nous trouvons sur les marchés.

    Nous avons un fils et une fille qui même participent aux cultures du potager quand ils sont de retour chez nous, ils apprécient beaucoup ce contact charnel à la nature que vous évoquez fort bien dans vos autres messages, je suis vraiment de votre avis Muriel! C’est dans votre état d’esprit, vous qui avez choisi ce qui vous semple une éthique sûre et durable à votre vision, vos choix et à vos escapades entre autres.

    Pour ce soir voilà, amitié tous.

    J’aime

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s